La Grande-Bretagne sort désormais du lot suite à l’étude sur les entreprises et emplois. D’après les sources, les grandes et moyennes entreprises prennent le dessus dans l’emploi salarié.
Évolution des villes étudiées
Pendant près de 09 ans d’étude, de 2008 à 2017 faits par l’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques), l’emploi a monté de 15 700 salariés sur toute la Bretagne. Cette hausse provient principalement de Rennes avec 14 100 employés.
L’étude étant prolongée sur d’autres bassins d’emplois, voici les statistiques. Il s’agit de quatre régions économiques ayant bénéficié de plus de 1OOO employés dont Vannes, Saint-Malo, Vitré, et Lamballe. Lamballe a procédé par création d’emploi, tandis que Vannes a adopté la stratégie d’ouvertures de nouvelles entreprises.
Pendant que d’autres prospèrent, d’autres villes ont du mal à décoller. Il s’agit de Lannion, Guingamp, Saint-Brieuc, Morlaix et Carhaix-Plouguer qui enregistrent une perte de 800 emplois salariés sur cette même période.
Petites et moyennes entreprises se développent
Grandes et entreprises intermédiaires en Bretagne représentent près de la moitié des employés salariés soit un pourcentage de 49 dont un effectif de 329 000 personnes. L’union de tous les secteurs sauf l’agriculture a connu un progrès de 26 900 salariés.
Mais, hélas, au même moment, les petites et moyennes sociétés diminuent dans beaucoup d’autres régions. Au milieu de tout ça, la Bretagne s’en sort toujours avec une augmentation du nombre d’employés soit un gain de 2000 salariés. Pendant cette même période de 2008 à 2017, 36 000 emplois ont été détruits dans les grandes sociétés. Mais la création de nouvelles méthodes comme les rachats, les acquisitions et l’implication compagnies intermédiaires a permis de relever l’effectif.
Le même scénario s’est produit avec les sociétés intermédiaires avec une baisse de 13 200 salariés, ce qui a réduit l’effectif des employés à 126 900.
Avec ses hauts et bas connus par les entreprises en Bretagne pendant une même période donnée, son progrès dans l’emploi reste tout de même évalué à 2,3 % et doit être une source de motivation pour évoluer dans cette dynamique.